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Suite du chapitre 6


Les Fruits de la Paix


4) L’intérêt du bon combat  


Maintenant que nous avons décrit l’intérêt de ce baptême de feu, nous allons développer quelque peu le protocole d’entrée dans cette phase constructive.

Si pour ma part quelqu'un m'avait dit avant ma conversion « tu ne connais pas le bonheur », je lui aurais tenu tête en le prenant pour un insensé. Aujourd'hui, et un peu plus chaque jour, ce profond bonheur que je ne connaissais pas ne cesse d’augmenter en moi. J'avais pourtant reçu une douche de félicité qui m'avait fait pleurer et rire à la fois cette première nuit, lors de mon Baptême du Saint-Esprit, mais il en est mieux après ces nombreuses années qu'au premier jour, car vécu dans une sérénité qui m’était jusqu’alors inconnue.

J'eus certes des hauts et des bas comme il en est de chacun, mais les bas ne furent jamais trop bas au point de me faire sombrer, car il est le consolateur, tout comme les hauts ne furent, je l'espère, jamais suffisamment hauts pour me faire tomber dans l'orgueil, car il est l'Esprit de vérité. C'est ce qui est merveilleux de vivre Dieu au jour le jour, et le voir accomplir son œuvre en nous avec Amour et nous conduire progressivement au renouvellement de nous-mêmes.

Il faut savoir que le domaine spirituel est merveilleux pour celui qui recherche les bienfaits de Dieu en lui-même avec sincérité et droiture et qui veut se laisser conduire par le Saint-Esprit au-delà des préceptes auxquels il peut simplement donner raison, en toute VERITE de cœur donc.

Le texte de Luc 10 nous a permis de voir que celui qui sera rentré dans la communion de Dieu par le Saint-Esprit, pourra effectivement mener un combat d’autorité sur les mauvais esprits, au moins pour sa propre personne, pour faire mourir sa " chair " et les " guides " qui s'y rattachent. Le repos de l'âme étant à cette condition, c'est donc bien à cela que nous devons aspirer.  

Pour qu’il y ait combat, il faut qu’il y ait engagement, et pour qu’il y ait engagement, il  faut qu’il y ait conviction. Celle-ci nous est donnée par le Saint-Esprit, mais également par notre agrément à le suivre. Nous pourrions dire que c’est là toute la difficulté à vivre pleinement en Dieu, car une part de notre enseignement intervient forcément. Un « apprentissage » personnel à reconnaître la différence en nous de ce qui nous est communiqué par le Saint-Esprit ou qui est issu de notre intellect est donc indispensable dans toutes les petites choses de la vie, pendant un temps plus ou moins long après le baptême du Saint-Esprit. Cet apprentissage personnel accompagné bien entendu de celui de la parole de Dieu au sein d’une église dans laquelle le Saint-Esprit est enseigné, se fera par des expériences vécues au travers desquelles nous nous laisserons conduire à mettre en pratique le guide du Saint-Esprit, plutôt que notre logique ancienne. Ces petites choses présenteront l’avantage de faire grandir notre foi à cause des résultats qui nous paraîtrons déjà miraculeux pour beaucoup, et nous préparerons surtout à reconnaître la voix du Saint-Esprit en nous afin de nous permettre d’en accomplir de plus grandes. Ce ne sera pas encore nécessairement le baptême de feu, mais ce sera déjà l’entraînement qui y conduira. Ce seront là tous les résultats auxquels nous pouvons nous attendre durant la période dont nous parle Luc 13-6/9 que nous venons de lire, qui fait bien état d’un laps de temps entre la plantation du figuier qu’est le baptême du Saint-Esprit et la récolte des fruits nés de l’Esprit de Dieu dans notre nouvelle logique.

Seule la mise en pratique de notre foi conduite par le Saint-Esprit de Dieu avec patience et sagesse permet d'entrer dans la bonne dimension, où les miracles de Dieu peuvent se vivre au jour le jour dans notre cœur.

Il ne s’agira alors pas d’avoir simplement donner raison à un enseignement nouveau ou passé, mais d’avoir été trouvé vainqueur de réactions spontanées contraires à la parole de Dieu que nous réprouvons donc intellectuellement.

Nous en avons déjà parlé dans les chapitres précédents, mais cela vaut la peine que nous y revenions quelque peu.

Dans l'exemple que nous avions pris d'une mauvaise pierre sur un pont, Dieu agit tel un chirurgien. Il prend le temps de nous préparer au remplacement de chacune d'elles avec douceur, bien qu'elles soient souvent profondément enracinées dans nos entendements. A l'instant de " l'opération ", un peu comme chez le dentiste, même s'il nous semble parfois que la mort serait préférable à la vie, nous nous retrouvons bien plus rapidement relevé qu'il ne nous a fallu de temps pour descendre. Contrairement à une attitude religieuse, qui arrive et veut tout raser d'un coup, Dieu plein d'Amour, prend le temps de créer en nous l'entendement nécessaire, et grain de sable après grain de sable, tout comme il connaît le nombre de nos cheveux, il fait un travail de chirurgien, même sur un lourd et robuste pont de pierre.

Dieu connaît ce qui nous conduit à des réactions inverses à notre entendement, et qui est logé dans notre subconscient, notre esprit.  Ce sont souvent là quelques souffrances vécues dans l’enfance, qui se sont trouvées isolées à l’adolescence dans la partie de notre cerveau lié aux réflexes de survie. Ce ne sera généralement qu'une chose toute bête, comme par exemple chaque fois que nous aurions voulu embrasser notre père au retour de son travail, lui sauter au cou pour se réjouir ensemble... Là, toujours la même chose, les discordes, les cris, pour d'autres l'alcool... Dans le profond désarroi qui se créait en nous, nous prenions alors le baigneur ou l'ours en peluche assis sur le lit, et nous lui tapions dedans comme pour mieux dire à ce père : « Papa je t'aime, écoute-moi donc... ! » Et vlan ! Et vlan ! Un coup de poing, et un autre... Puis c'était devenu presque un jeu...

Les années ont passé, cette réaction est tombée aux oubliettes mais continue de nous conduire exactement de même en tant « qu’adulte ». Ce sont souvent d’aussi petites choses que Dieu veut nous révéler, car il était présent lors de ces souffrances d’enfant. Il sait que ce sont ces petits malheurs, et parfois de beaucoup plus grands, qui en plus de venir impressionner notre cerveau structuré de façon à oublier l’origine de ces souffrances, ouvrent des portes dans notre cœur à des sentiments ou esprits charnels, telle la rancune, la violence et bien d’autres.

Le but de Dieu est donc de nous rendre vainqueur de ce misérable esprit charnel qui nous incite extérieurement au niveau du cœur, en nous rendant premièrement vainqueur au niveau de notre esprit, notre subconscient, dans une dimension similaire à celle qui avait donné des droits à cet esprit impurs de résider dans notre cœur.

C'est absurde, mais bien des vies sont gâchées à cause d'aussi petites choses. Notre père a parfois cessé depuis des années de nous faire souffrir et pourtant la violence est restée. A chaque fois que nous avons peur d'être délaissés dans quelque autre contexte que ce soit, nous reproduisons la même chose. Nous avons certes grandi, nous nous prenons même pour des adultes, mais chemin faisant, lorsque l'injustice vient ou lorsqu'un automobiliste nous embête ou... Combien de " ou " devrions-nous écrire puisque chaque cas est particulier ???

La situation est un peu la même pour Jésus que pour un entraîneur sportif, dont le bonheur est dans la victoire de son équipe ou de son sportif. S'il est homme, nous pouvons imaginer qu'il le fait quelque peu pour sa gloire personnelle, mais Jésus réside dans une intégrité qui n'existe pas sur terre. Il est celui qui a déjà tout accompli pour nous, et nous agissons sans lui. Il est celui sur qui nous crachons et il ne se venge pas. Ce qu'il a fait hier, il le recommence aujourd'hui, une fois, deux fois cent fois par jour s'il le faut et sans faire de reproche. Au moindre mieux il nous encourage, au moindre fléchissement il est là de nouveau à nous soutenir, au moindre gémissement, à la souffrance masquée par un excès de violence, il nous dorlote.

Laissez moi vous conter une petite histoire à ce sujet : Jésus a dit qu'il serait tous les jours avec nous. Une charmante jeune fille arrive devant " Saint-Pierre ", qui la fait entrer au paradis afin de lui faire visionner le film de sa vie. Arrive un moment, où elle se revoit triste, l'âme en peine, marcher sur le sable humide d'une longue plage, mais ne voit qu'une trace derrière elle sur le sable. Sur un ton de reproche, elle se tourne alors vers Jésus, et lui dit " Seigneur, naturellement que j'étais triste, l'âme en peine ce jour là, comment avais-tu pu m'abandonner ainsi " ?

Dans un sourire, Jésus lui répond alors : C'est moi qui te portais !

La victoire passe également par-là. En toute humilité Jésus sut accepter l'aide d'un homme, Simon de Cyrène, à porter la croix sur laquelle ils allaient le crucifier. Au vu de tous les miracles que Dieu manifesta en Jésus-Christ, croyez-vous qu'aussi lourde fut cette croix, il eut été impossible à Dieu de la rendre plus légère à Jésus pour mieux manifester sa puissance ?  Est-ce plus difficile de porter une croix ou de dire à un mort lève toi et marche ?

Tout dans la vie de Jésus est une merveille de précision, et nous apporte l'aspiration de vivre conduits par le Saint-Esprit et non par notre puissance ou notre force humaine, mais le plus merveilleux est cependant pour après la victoire sur l’esprit charnel. Oui pour après ! Quand un champion passe en tête la ligne d'arrivée, s'il doit renouveler à l'infini son exploit, il s'en trouve alors incapable. A l'opposé, quand Jésus a libéré d'un péché, la victoire est acquise et se multiplie, c'est là le merveilleux.  

Nous parlons bien évidemment du résultat final des victoires à obtenir et non des situations dans lesquelles Dieu travaille notre cœur et nous demande de nous abstenir de cette violence. Tout en nous sera alors revendication à la violence chaque fois qu'une chose nous fera souffrir. Cette souffrance, étant alors insupportable, nous irons parfois jusqu'à nous " battre avec lui dans nos prières ", lorsqu'il nous demandera de nous en repentir.  Nous trouverons toujours de faux prétextes charnels qui justifient cette violence, les autres le méritant bien.

La victoire sur ces attitudes viendra parfois rapidement, mais demandera souvent beaucoup de temps et voir encore plus. Un jour viendra cependant où dans notre bonne volonté nous commencerons d'en demander pardon. Première victoire, Nième rechute, et le processus recommencera, une fois pardon, deux fois pardons, cinquante fois pardon, rien n'y fera. Nous tournant alors vers Jésus, nous lui dirons " Seigneur, je ne peux pas, je vois bien que ce serait mieux pour moi, mais je ne peux pas... Seigneur donne-moi le désir de le faire et la force de l'accomplir, car je le crois bon pour moi, mais je ne le peux pas ".

Rien en effet ne s’obtient sans une réelle repentance, mais aussi la joie de se savoir pardonné de lui, dans une entière confiance qu’il nous rendra vainqueur et non nous-mêmes. Ce ne sera surtout pas pour nous une solution de facilité, mais bien au contraire dans la totale reconnaissance de notre incapacité de mettre en pratique ce que nous reconnaissons bon. C’est pourquoi nous pouvons encore une fois citer l’Apôtre Paul qui nous dit dans (Romains 7-14/20) Nous savons, en effet, que la loi est spirituelle; mais moi, je suis charnel, vendu au péché. Car je ne sais pas ce que je fais: je ne fais point ce que je veux, et je fais ce que je hais. Or, si je fais ce que je ne veux pas, je reconnais par-là que la loi est bonne. Et maintenant ce n’est plus moi qui le fais, mais c’est le péché qui habite en moi.

Ce qui est bon, je le sais, n’habite pas en moi, c’est-à-dire dans ma chair: j’ai la volonté, mais non le pouvoir de faire le bien. Car je ne fais pas le bien que je veux, et je fais le mal que je ne veux pas.

Et si je fais ce que je ne veux pas, ce n’est plus moi qui le fais, c’est le péché qui habite en moi.//

Comme Simon de Cyrène porta la croix de Jésus, Jésus portera alors la nôtre. Une fois, pardon, deux fois pardon, trois fois, et là... Oui là, au moment où encore une fois nous serons sur le point de reproduire cette éternelle erreur, une lumière apparaîtra en nous comme un flash, la compréhension sera instantanée et à cela nous dirons : « NON » !

Ce sera le jour où Dieu dans sa miséricorde, " comme une corde tendue à notre misère ", nous aura révélé la source de notre erreur et nous aura donné d'en être victorieux dans une même dimension qu'initialement. Le péché n'aura pas été commis, et nous aurons dit : NON ! L'esprit charnel qui nous incitait à cette violence tant dans notre cœur que dans notre esprit sera vaincu. Il nous guidait vers l'erreur depuis le jour où, en toute amertume de nous être ressenti délaissé par ce papa que nous aimions tant, nous avions commencé de taper dans ce gros nounours qui représentait le mieux notre père.

Cette fois-ci, Dieu nous a éclairés, la victoire est venue. Nous ne nous sommes pas laissés posséder à reproduire le même comportement. Cinq minutes après un chauffard, nous coupe la route : A notre plus grande surprise, contrairement à toutes nos habitudes, un simple hochement de tête. " Tiens ? Bizarre ? Je ne me suis pas mis en colère ! "

Une autre circonstance se présente, même réaction, une troisième, une quatrième, « bon là ça va bien », mais aussi paradoxale que cela puisse nous paraître, nous ne sommes pas entrés dans la violence. C'est en cela que Jésus nous donne d'être vainqueur de nos mauvais « instigateurs », et que nous pouvons devenir des admirateurs extérieurs de nos propres changements.

En plus du pardon de nos péchés, Jésus donne en effet la capacité de ne plus pécher à celui qui veut le suivre avec sincérité et vérité. Dieu ne prend pas plaisir à une éternelle dimension du péché, repentance, péché, repentance. Il veut nous amener à la victoire qu'il a lui-même remportée pour nous, non pas en masquant ce qui existe déjà par un esprit charnel mieux affiné, mais en nous donnant l'autorité sur ce qui nous berne et nous harcèle.

Quelques tentations viendront dans les jours ou les semaines suivantes, comme pour nous éprouver, mais celles-ci nous paraîtrons presque simples, comme extérieures à nous-mêmes. Si nous ne leurs donnons pas raison, sans doute n'accepterons-nous toujours pas d'être rejeté comme une chose normale, mais votre souffrance n'atteindra jamais plus ses anciennes limites qui nous torturaient précédemment. Nos élans vers les autres, impossibles par le passé, seront couronnés de réussites dans toute autre partie de notre vie où cette violence faisait de nous un faible, alors que nous nous considérions forts d'être violents. Nous serons chaque jour émerveillé des choses de Dieu, et nous comprendrons aussi combien de conflits parents enfants passent inaperçus de tous, mais nous construisent cependant.

Le merveilleux et le surnaturel, est de découvrir combien cet instigateur en avait pris à son aise à nos dépends dans les autres parties de notre vie, alors que nous lui avions donné raison dans si peu de choses à nos yeux. Au travers de notre logique charnelle construite par la souffrance, Satan est celui qui nous extirpe les réactions qui nous détruisent.

Comme nous le regardions voici quelques pages, Jésus, né de Dieu, dès le sein de sa mère, n'a pas eu cet ancien logiciel de la chair à faire mourir comme nous avons à le faire nous-mêmes. Pour être trouvé sans taches, il dut pourtant le conserver vierge. Le moindre de tous les plus petits péchés qu'il eut pu commettre, aurait si non donné des droits à Satan de le réclamer à Dieu dans la mort. S'il s'était donc laissé tenté par la moindre des plus petites transgressions de la loi juive que Dieu donna à Moïse, il n'aurait pas été sans tache dans son âme. Nous ne bénéficierions pas non plus en lui aujourd'hui, de tout le potentiel de purification de notre âme.

Ceci l'empêchait-il toutefois de passer par ce système de référence qu'est la chair ? Absolument pas ! Il gardait en tous domaines son libre arbitre, de prendre ou non le droit chemin, donnant raison à l'Esprit de Dieu ou au rapport de force qu'est la chair. Mis à part sa mission de devoir rester pur, en rapport de la nôtre qui est de nous purifier, sa tâche était à cent pour cent la même, et ses possibilités de passer par la référence de la chair ou de l'Esprit était également à cent pour cent les mêmes. C'est pourquoi il dit " je viens oh ! Dieu pour faire ta volonté ". Ceci donc ramené à nous, fait, que même avec le baptême du Saint-Esprit, nous gardons notre libre arbitre d'employer ou non le guide de notre chair ou du Saint-Esprit.

Cette puissance, ce canal d'ondes pourrions-nous dire, en comparaison de la télévision ou de la radio, n'est donc qu'un libre accès que nous pouvons toujours contourner. C'est pourquoi il est simple d'utiliser le Saint-Esprit dans des conditions sereines et réfléchies, hors de toute bousculade, en comparaison de ce que notre chair peut considérer juste. La chose par contre, se complique fortement lorsque nous choisissons de rester VRAI, et que notre chair fait ressortir spontanément notre mauvaise nature humaine lors de confrontations inopinées, liées au brouhaha de la vie et aux conditions réflexes qu'elle génère.

C'est pourquoi, il nous faut, pour ressortir vainqueur, être renouvelés par Dieu à l'image de ce que nous avons lu au début de ce chapitre " Je mettrai mes lois dans leur cœur et je les écrirai dans leur intelligence ".

Le mécanisme qui se passe en nous à cet instant de victoire devient sans doute clair pour beaucoup. Le Saint-Esprit ayant pris possession de la part de notre cœur qui se trouvait encore sous la tutelle de Satan par le « péché », met premièrement un peu plus des lois de Dieu dans notre cœur.  Deuxièmement : A l’instant où nous avons dit non au comportement non conforme à la Loi de Dieu, cette part d’ancienne logique encore écrite dans notre subconscient s’est trouvé effacé pour être réécrite dans ce nouveau langage de l’Esprit de Dieu.

Ses lois sont alors écrites dans notre intelligence, mais quelle gloire avons-nous à en tirer ? Aucune ! Parce que nous avons capitulé à accomplir par nous même, conduits par cette part charnelle qui justifiait certaines mauvaises attitudes de cœur, Dieu est venu et l’a accomplit pour nous, en nous, mais souvent également physiquement. C’est pourquoi nous devenons de plus en plus des spectateurs émerveillés de ses miracles, car ce baptême de feu de notre ancienne logique crée en nous ce désir profond, cette dynamique du plus de Dieu en nous, mais aussi plus d’Amour de notre Prochain ! A Lui soit toute la Gloire !

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