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6 – La Libération de la femme et de l’église


Si la bonne utilisation de la vocation de chacun est fondamentale aujourd’hui, pour aller jusqu’à la réécriture de l’esprit dans la nature du Saint-Esprit, une fois que l’un et l’autre seront réécrit par Christ dans la nature divine, il n’y aura plus ni homme ni femme gardien de ces valeurs, puisque le système émotionnel de chacun sera réécrit à l’image de celui de Jésus sur terre, quelque soit sa génétique. C’est pourquoi nous ne devons pas faire une fixation sur l’appellation que nous avons donnée aux familles émotionnelles XX et XY, car si elles  représentent génétiquement, le féminin et le masculin, elles ne représentent émotionnellement que la majorité des sujets structurés sur un même mode de perception de leur logique initiale sous tutelle, placée dans les neurones près du cœur de tout humain dès sa procréation.

Si nous avons donc vu comment l’emploi d’un mode de fonctionnement par amour, devait conduire les maris XY à se recentrer sur la Parole de Dieu pour ouvrir à Jésus les droits de réécriture de leurs sentiments, le respect de la génétique étant beaucoup plus présent chez la femme, dès la personnalisation de son esprit, nécessite beaucoup plus une confiance à en respecter tous les points, qu’un désir de les dépasser. La construction émotionnelle initiale du mari, place beaucoup plus le respect des règles divines au niveau de son apprentissage et donc de ses sentiments dans une dimension rivale avec ses désirs, alors que le contingentement des désirs de la femme est placé au niveau de l’esprit sur lequel repose tous ses sentiments, avec une appréhension d’en dépasser les limites. Si l’épouse n’est donc pas exempte d’erreurs charnelles, étant donné que l’esprit initial la cantonne plus dans le respect de sa génétique, les erreurs de ses sentiments sont plus situées dans des concessions contre ses justes perceptions de l’esprit initial, par incitation à dépasser ses règles de survie pour elle-même et par amour pour sa descendance. C’est l’inverse de la généralité des maris qui donnent facilement raison à leurs désirs, faute de perception de cet esprit. Les craintes du non respect de sa génétique, sont donc plus profondes et immuables chez la femme, ce qui laisse à ses sentiments une moins grande latitude aux désirs de sortie de ce que nous avons appelé la « surveillance parentales », puisqu’elle-même se ressent dans une harmonie émotionnelle, lorsqu’elle donne simplement raison à sa logique initiale, bien que les finalités d’action qui en ressortent doivent être couvert par l’œuvre de Jésus à la Croix, à cause de leur nature initiale, comme il en est du mari.

Si tout comme pour le mari son cerveau appliquait donc ces fameux coefficients correcteurs à son amour égocentrique, afin de rendre celui-ci plus ressemblant à l’Amour divin, là où il s’agissait pour le mari, de ne pas donner raison à ses désirs, il s’agit pour la femme de ne pas donner raison à ses propres concessions. C’est aussi pourquoi l’envie de la véritable libération chez la femme ou toute autre structure sociétale XX, doit passer par un meilleur résultat de son complément XY, pour lui faire envie de mieux appliquer ses propres bases, qu’il s’agisse de la femme, de l’église ou d’Israël.

Cette libération nécessite donc encore une fois un appel divin, qui ne se mesurera pas extérieurement à la réussite sociale du couple, car Dieu mesure en secret, selon l’Amour divin dans le cœur. Comme nous nous y avons fait allusion dans le paragraphe précédent, ce n’est qu’une fois que le mari à atteint une stabilité émotionnelle construit sur cet Amour divin, au moins égale à celle de la femme dans la juste correction de son amour égocentrique, que Dieu peut transférer sur l’homme la responsabilité de gardien des valeurs divines placées jusqu’alors sur elle. Cela ne sous-entend donc pas qu’il aura reçu la couronne déjà sur cette terre à ce moment, mais qu’il restera obligatoirement au couple des parts d’Amour divin à conquérir, ne serait-ce que celle de vaincre la tentation à rester dans l’humilité après ce changement de protocole, au même titre que Jésus fut tenté.

Personne ne doit jamais oublier que Jésus fut tenté et c’est pourquoi celui qui reçoit la couronne déjà sur cette terre, comme ce sera le cas de l’Église de Philadelphie, doit rester conscient que ses acquits ne seront définitifs qu’au jour de sa rencontre avec Christ dans les cieux.

Si à chaque victoire contre cette « surveillance parentale » la conquête de Canaan est une intervention de nature divine, elle n’en est pas moins liée à notre entière volonté d’utiliser notre libre arbitre à ouvrir les portes à la nature de Christ et s’il en est ainsi au niveau individuel, il n’en va pas différemment sur le plan collectif. Ce que l’on appel couramment la conscience collective, n’est pas celle qui est présente dans notre génétique, car elle est l’interprétation et la synthèse de la mémoire acquise collectivement au fil du temps, avec toutes ses erreurs et superstitions liées à nos craintes ou nos gloires en rapport aux époques en question. C’est pourquoi, afin de lever toute ambigüité, nous devons regarder à quelle époque nous sommes, pour comprendre pourquoi Jésus ne veut plus seulement nous tenir hors des droits répressifs de la tutelle de Satan, par la simple action de couvrir nos péchés, comme il en fut depuis la Crucifixion, mais veut emmener chacun jusqu’à la réécriture de son esprit, afin de nous rendre parfaitement semblables à lui.

Nous sommes aujourd’hui à la croisée des chemins et si nous pouvons nous-mêmes nous rendre compte de l’époque que nous vivons, nous devons regarder à Israël, si nous voulons avoir la confirmation de certaines affirmations que nous avons utilisées. Si la base de référence dans laquelle nous avons placé la femme dans le couple, en rapport à la part du peuple hébreu installée à l’est du Jourdain, qui servi de soutien à ceux appelés à entrer en Canaan, depuis 1948, pour que le mari, ou tout autre XY, puisse résister à la tutelle de Satan, cette base de référence ne se trouve plus à l’est du Jourdain, l’actuelle Jordanie, mais en Canaan, la terre sainte. La base de référence ayant changé de position, l’objectif spirituel à atteindre a donc évolué de même. Le nouveau point de départ est en effet dans cette résistance à la tutelle de Satan, dans la plus grande sainteté possible, acquise humainement sous la conduite du Saint-Esprit, sur les valeurs du Canaan d’hier, pour que notre « Canaan » d’aujourd’hui soit dans la conquête de l’Amour divin qui vient effacer cette « surveillance parentale » que Jésus devait jusqu’alors couvrir.

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Tout comme les deux tribus et demie furent rapidement installées à l’est du Jourdain, le soutien de l’Éternel à Israël en 1967, marque la fin de l’installation de son peuple, comme base de référence pour les nations chrétiennes, qui sont appelées depuis lors à produire une gestion par amour et non plus par domination, sans pour autant s’éloigner des valeurs divines. C’est aussi en cela que nous retrouvons cette vague du « peace and love » qui déferla sur le monde en 1967 et 1968, et marqua alors ce changement de mode de fonctionnement, mais aussi une dégradation du respect des valeurs divines dans nos sociétés occidentales, au même titre qu’il en fut à Aï après Jéricho, à cause du non respect de l’interdit de l’Éternel.

C’est aussi pourquoi depuis plusieurs décennies nous sommes entrés dans un libéralisme effréné, né à cette période de l’idéologie du « Peace and love », au travers de laquelle la drogue et bien d’autres hérésies charnelles contribuèrent à la perte des limites parentales dans les nouvelles générations. Cette sincérité du « Peace and love » conduisit à l’interdit de réprimer les désirs des enfants, pour qu’ils puissent s’exprimer, duquel émergea un système dominant. L’excès d’apprentissage, fait au détriment de l’éducation et de l’autorité parentale, sur la logique encore charnelle des enfants, les conduisit à des présomptions utopiques, issues de l’impact des jeux vidéo et toute la virtualité chimérique, dont ils tirent maintenant leur bien et leur gloire, mais aussi l’irrespect sociétal et celui de la parole de Dieu. Une volonté d’insoumission à toute forme de règles, ou d’institutions représentant celles-ci, s’est instaurée et tente de barrer la route aux réels objectifs de Dieu, que l’ancien tuteur accumule à son profit dans nos sociétés occidentales.

De même qu’il en fut à Jéricho et qu’il en est du mari dans le couple, lorsque ses barrières s’ouvrent et que tombent ses anciens « coefficients correcteurs », tout parut alors facile au monde d’alors, sauf que l’accomplissement n’étant pas selon la parole de Dieu, le réveil est aujourd’hui difficile, face aux montées du complotisme, mais aussi des intégrismes en tous genres.

Notre Canaan d’aujourd’hui, ne peut se trouver que sur la base du Canaan ancien et non sur toute autre valeur utopique de l’amour humain égocentrique et c’est aussi pourquoi la spiritualité de la femme et de l’église, placée sur les valeurs d’Israël est indispensable, car toute dispensation divine n’est pas donnée pour supprimer les anciennes bases, mais pour permettre leur réel accomplissement. Elles n’apportent pas le mode de fonctionnement à suivre, comme il en eut été avant 1968, mais le résultat à obtenir par amour, sans s’éloigner des préceptes divins.

Nous sommes aujourd’hui entrés dans la conquête de leur Canaan par les nations chrétiennes, ce qui correspond à une gestion par amour, complémentaires à Israël et si ce comportement du « Peace and Love », n’était pas plus juste qu’Acan à Jéricho, ce sont les mauvais résultats de ces idéologies qui doivent nous conduire à recentrer cet amour sur les valeurs divines en Jésus-Christ. Nous ne devons pas nous lasser de ce nouveau mode de fonctionnement, jusqu’à obtenir le bon résultat dans la nature de l’Amour divin, sans accepter de céder à la tentation de donner raison à des concessions liées à l’amour égocentrique, comme des règles justes devant Dieu, car inévitables dans la logique sous tutelle.

Si nous sommes aujourd’hui dans le creux de la vague, ce n’est pas la faute des générations en question, puisqu’il s’agit des temps marqués par Dieu depuis des millénaires, mais cela ne retire en rien à la responsabilité individuelle et collective de vouloir sortir de cette ornière. Tout comme après le passage du Jourdain et la défaite de Aï en Josué 7-7,  Josué et les anciens furent tentés de retourner en arrière, nous devons prendre model sur eux en nous tournant vers Dieu, dans la volonté de nous repentir des valeurs idolâtres que notre société a accepté à tort. Jésus veut apporter la véritable libération à nos nations et cela commence par éliminer les mémoires erronées qui appartiennent aux mauvaises synthèses de notre logique sous tutelle, dans notre conscience collective. Nous leurs accordons souvent une valeur fondamentale, comme celle de ce « peace and love », du fait que nous leur avons souvent donné raison depuis notre plus tendre enfance, ce qui en fait autant de barrières à notre foi en Christ.

Ce sont ces fausses vérités qui génèrent une grande part de nos désaccords sociétaux, qui doivent en cela être regardés comme le sont les inévitables querelles du couple, liés à cette situation particulière de l’entrée en Canaan. C’est pourquoi nous devons vouloir produire absolument tout ce qui est en notre pouvoir, pour revenir des erreurs engendrées par notre société, sans pour autant accepter de retourner à l’interdit autoritaire, pour atteindre un résultat immédiat, depuis un système dominant et répressif.

C’est seulement dans la persévérance de toute nation chrétienne, dans la recherche de la volonté divine en Jésus-Christ, que le libertaire charnel actuel pourra-t-être vaincu et que la réelle Liberté divine pourra prendre place dans nos sociétés, à condition toutefois que nous n’allions pas vers la condamnation du pécheur, mais du péché. Jésus ayant payé à la Croix pour tout pécheur qui se repent, si nous savons Lui faire confiance, l’ennemi de nos âmes fera toujours une œuvre qui le trompe et tout ce qu’il tentera de placer devant nous, pour nous barrer la route, se retournera contre lui si nous restons sur la bonne voie et que nous nous repentons de toute condamnation que nous avons pu avoir envers l’autre.

Nous sommes dans les temps dans lesquels ce ne sont plus seulement aux parts que nous avons appelés XY à entrer en Canaan, mais également aux parts XX, laissées jusqu’alors en tant que gardiennes des valeurs divines accomplies par Jésus sur les valeurs du Canaan d’hier, donc sans la condamnation du pécheur, mais du péché.

Il en va de l’église dans la société comme de la femme et du mari dans le couple, car durant le temps nécessaire au mari pour entrer dans le renouvellement de l’esprit, jusqu’à la dimension qui convient à l’Éternel, l’appel divin ayant été jusqu’alors différent dans l’homme et la femme, les appréhensions d’aller l’un vers l’autre devront disparaitre. Elles devront faire place à une nouvelle confiance réciproque de la bonne volonté de l’autre à avancer vers la volonté divine et rester unis contre vents et marées. Les traces laissées sur « l’épouse », dans son combat contre les confusions et les tâtonnements du mari, devront donc disparaitre, tout comme les frustrations et brimades de ce « mari », envers ce qu’il avait déjà mis en pratique dans le renouvellement divin et que l’épouse refusait encore.

Pour opérer ce changement de responsabilité, Jésus attend donc que l’épouse aspire pleinement à devoir dire « oui » à Dieu à son propre changement de mode de fonctionnement, mais aussi que le mari soit prêt à sacrifier sa nouvelle liberté acquise divinement, au même titre que Jésus ne revendiqua pas un dû, mais accepta la mort à la Croix.

Ce n’est qu’au jour où l’un et l’autre seront entrés dans cet accomplissement l’un envers l’autre, sans être apporté par la tolérance du péché ou la domination de ses désirs pour le mari, mais par l’Amour divin reçu de Jésus dans les cieux, que Dieu pourra ouvrir les portes au changement de mode de fonctionnement de l’épouse. Ne pas aspirer à ce changement de mode de fonctionnement pour la femme et l’église, dans sa complémentarité envers la société, serait identique à préférer l’Église de Christ à l’Épouse de Christ. Ce serait alors ne pas aspirer à recevoir le système émotionnel de nature divine, dont Jésus veut pourvoir chacun, pour ne plus avoir à couvrir les programmations anciennes, de façon à ce que chacun soit directement agréable à Dieu.

Le point de référence de l’épouse et l’église étant lui-même situé sur le Canaan d’hier accompli par Jésus, et leur complément étant alors en possession de la référence émotionnelle liée à l’Amour divin, tous les tâtonnements du mari leur seront évités dans leur Canaan d’aujourd’hui, au jour de cet appel de Dieu pour elles.

Si donc la conquête du Canaan de « l’homme » est longue et pleine d’embuches, il en est de l’opposer pour la femme et l’église, qui n’a plus qu’à entrer dans la moisson préparée d’avance pour elle par son complément, mais à laquelle elle ne pouvait jusqu’alors qu’espérer, sans y croire réellement, tant que Dieu ne lui avait pas ouvert la porte. Nous retrouvons en elles le comportement du mari face au péché, dont il ne pouvait pleinement se repentir, mais simplement bien vouloir croire, dans l’attente de sa victoire.

Le piège de la femme et de l’église se place aujourd’hui dans le fait de se croire déjà arrivées, non pas par présomption humaine, mais au contraire à cause de l’appel de Dieu dans lequel elles se trouvent depuis des millénaires, sans en avoir réellement compris l’aboutissant en rapport à l’Amour divin, qu’elles ne croient pouvoir découvrir qu’après avoir été enlevées auprès de Christ dans les cieux. Tant qu’elles se refusent de bien vouloir croire à la capacité de Christ de les rendre semblables à Lui déjà sur cette terre, elles luttent en réalité contre leur complément, comme leur complément luttait contre elles, dans leurs propres remises en cause vers la parole de Dieu.

Non seulement chacun croit sincèrement posséder cet Amour divin au travers des coefficients en question, mais la femme et l’église se trouve d’autant plus renforcées sur cette perception, que leur amour égocentrique inclus beaucoup plus globalement l’amour pour leur descendance, que celui de leur complément XY. Si cette particularité donne à leur amour une apparence plus proche de l’Amour divin, il ne s’agit pourtant là que d’une légère extension à l’amour égocentrique, dont la contrepartie du plus grand protectionnisme peut conduire au meurtre par autoprotection. C’est aussi pourquoi l’intégrité du Saint-Esprit dans l’Amour divin, doit constituer la base de toute notre construction psychologique, pour nous rendre semblables à Jésus.

Les craintes de la femme peuvent ainsi la conduire à lutter contre son propre couple, au même titre que « l’église » lutte contre « l’Église », écrite cette fois avec un « E » majuscule. Comme nous l’avons déjà évoqué, celle-ci n’est pas l’ensemble des églises, mais chacune d’entre elles avec la part de société attachée aux valeurs de son enseignement, dont nos sociétés occidentales sont leurs compléments à plus ou moins grande échelle. C’est aussi pourquoi le piège serait aujourd’hui d’imposer à ces sociétés des valeurs chrétiennes, pour créer rapidement un bon résultat apparent dans chacune d’elles, plutôt que de s’appuyer sur ces dites valeurs, pour persévérer dans la recherche de l’Amour divin pour chacun dans la société. Ce serait comme placer la femme ou l’église en tant que général du couple ou de la nation et non pas utiliser les bonnes bases de celles-ci, pour DÉCOUVRIR cet Amour divin, quelque soit la longueur du chemin restant.

C’est cet Amour divin qui deviendra la base de l’Église de Philadelphie, selon Apocalypse 3, que ce soit pour l’homme et la femme ou l’église et la société. C’est pourquoi le grand dragon, le serpent ancien, appelé le diable et Satan dans Apocalypse 12, n’aura pas autorité pour se retourner contre elle, puisque l’un et l’autre de ceux qui la constitueront, auront reçu la couronne déjà sur cette terre. Satan se retournera alors contre ceux qui ne seront que pardonnés de leurs péchés en Jésus-Christ et n’auront pas persévéré sous la conduite du Saint-Esprit comme nous venons de le voir.

C’est aussi pourquoi la séparation entre l’église et l’état, est fondamentale pour obtenir le bon résultat, car si l’église et la société doivent rester unies comme l’est le couple, pour pouvoir fonctionner différemment sur une même base de valeurs, chacun doit garder son identité, sans s’écarter de ce que Dieu veut instaurer dans sa Sainteté, au travers de l’un et de l’autre, sans conduire à la dictature ou à l’intégrisme.  

C’est parce que notre égocentrisme nous voile le réel objectif de Dieu pour chacun de nous, que nous nous combattons plutôt que de remercier Dieu de nos complémentarités. Que ce soit dans le couple, ou au sein de nos sociétés occidentales, autant l’église que la femme, ne doivent perdre leur identité génétique, autant l’une et l’autre sont appelées à devoir un jour fonctionner de la même manière que leur complément, depuis un système émotionnel également écrit dans l’Amour divin, pour gérer convenablement leur propre conscience. En Jésus-Christ, Dieu ne veut surtout pas que l’identité génétique de chacun disparaisse au travers du couple, car c’est au contraire par le Saint-Esprit que l’un et l’autre peuvent entrer dans leur réelle vocation génétique, dans une complémentarité au travers de laquelle chacun peut s’épanouir pleinement. Tenter de vouloir regarder l’homme et la femme selon un genre identique, pour régler les problèmes de maltraitance ou de féminicides, est identique à ce voiler la face, pour ne plus voir notre spiritualité charnelle, plutôt que de la faire disparaitre par l’action de Christ en nous.

La théorie du genre n’est donc pas la solution pour faire évoluer de bonne façon notre conscience collective, mais celui qui se battrait contre, en voulant revenir à un mode par domination de son système émotionnel, se battrait également contre Dieu et Jésus ne pourrait le soutenir pleinement dans ses justes combats, menés de mauvaise façon. Jésus nous appelle aujourd’hui à obtenir ce résultat dans l’Amour divin de notre terre sainte et non que nous retournions à l’est du Jourdain ou dans le « Peace and Love ». Chacun pourra alors en rendre gloire à Dieu, car la persévérance de chacun participera alors à la reconstruction du Temple, non pas celui de pierres, mais celui du Saint-Esprit dans chacun, que ce soit dans le couple, dans l’Église et dans les nations.